( Les casques bleus de l'Organisation des Nations Unis accusés de viol )
La population de la république centrafricaine n'est plus en sécurité depuis quelque temps. En effet, plusieurs femmes sont victimes d'agressions et d'abus sexuels de la part des soldats de la MUNUSCA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine). Face à cette situation horrible qui prend de l'ampleur de jour en jour, la voix de quelques femmes victimes se fait entendre.
Violence, meurtre, assassinat, agressions sexuelles, etc. C'est la triste réalité à laquelle fait face la république centrafricaine depuis quelque temps. En effet, selon les témoignages, un groupe terroriste soutenu par le Rwanda serait en mission de déstabilisation de la république centrafricaine. Le mode opératoire de ce groupe de terrorisme réside beaucoup plus dans les violences et abus sexuelles à l'égard des femmes.
À en croire la presse "Le monde" en partenariat avec "The New Humanitarian", une femme qui aurait été victime de ce viol se souvient encore de la scène infernale dont elle a été actrice en 2023. Alors qu'elle venait de vendre quelques fruits de légumes à un casque bleu rwandais, ce dernier l'a invité dans sa base afin de s'acquitter de sa dette. C'est ainsi qu'elle a été violée. Après le viol, en sortant de la base, la victime a voulu se confier aux deux casques bleus qui étaient à l'entrée. Mais malheureusement, ces derniers l'ont tourné en dérision. « Si je ne suis pas allée voir la Minusca, c'est parce que je ne sais pas vers qui me tourner, mais aussi parce que j'ai peur. Ils disent que leurs casques bleus sont venus pour nous protéger mais ils nous violent », a-t-elle déploré.
Quelques autres témoignages font état de ce que la Kigali vise la richesse du sous-sol Centrafricain. Pour cela , il est donc prêt à tout pour s'en accaparer. C'est donc la raison qui justifie cet acte inhumain face au quel l'inaction du gouvernement de la république centrafricaine inquiète plus d'un. Ainsi, la population Centrafricaine lance une pétition pour appeler la communauté internationale à la rescousse.